Bulletin trimestriel UMWIDEGEMVYO N°4

Les droits et libertés des citoyens sont des piliers de la démocratie dans un Etat moderne. Ils sont inviolables et ne peuvent être soumis à des restrictions que pour des causes que la loi autorise et pour motif d’intérêt public. Malgré ces garanties qui transparaissent dans les instruments internationaux que le Burundi a ratifiés et dans la Constitution de la République du Burundi, la jouissance effective des droits et libertés…

Bulletin trimestriel UMWIDEGEMVYO N°3

Depuis le mois d’août 2021, le président Evariste Ndayishimiye s’est particulièrement illustré par un discours offensif plein d’attaques virulentes personnalisées contre des journalistes et plus récemment contre les syndicats des enseignants, semant une totale confusion quant au respect de la loi à laquelle il a pourtant juré fidélité. Les violations massives des droits et libertés des citoyens qui se commettent dans le pays sont sans cesse documentées et dénoncées par…

MANUEL DE GESTION DU STRESS POUR LES DDH BURUNDAIS

La situation des droits humains au Burundi, depuis 2015, est de plus en plus précaire, nous observons des arrestations arbitraires, des cas de torture, des disparitions forcées et des assassinats. Parmi les personnes les plus ciblées il y a les défenseurs des droits humains (DDH) qui, malgré cet environnement de travail à risque, n’ont jamais fléchi, plutôt ils ont multiplié les efforts pour promouvoir un Etat de droit au Burundi…

Déclaration sur le jugement rendu par le Tribunal de Grande Instance de Gitega contre Emilienne Sibomana

La CBDDH est consternée par le jugement condamnant la brave syndicaliste membre du SEGEPEBU, Madame Emilienne Sibomana, au moment où on s’attendait à sa libération, le Tribunal de Grande Instance de Gitega l’a condamné à une peine de 5 ans de prison ferme et une amende de 5.000.000 de francs burundais pour l’infraction de dénonciation calomnieuse contre l’abbé Laurent Ntakarutimana. Télécharger ici la déclaration

Lettre conjointe des OSC pour demander la promotion et la protection de la liberté d’association au Burundi

Les organisations de la société civile burundaise attirent l’attention du Président de la Commission Nationale Indépendante des Droits de l’Homme (CNIDH), sur l’urgente nécessité d’amendement de la loi liberticide n° 1/02 du 02 janvier 2017 portant cadre organique des ASBL au Burundi. La loi mentionnée comporte des lacunes qui entravent la liberté d’expression et restreignent la participation active de la société civile dans les affaires publiques. Ces organisations affirment que…