Les organisations de la société civile burundaise attirent l’attention du Président de la Commission Nationale Indépendante des Droits de l’Homme (CNIDH), sur l’urgente nécessité d’amendement de la loi liberticide n° 1/02 du 02 janvier 2017 portant cadre organique des ASBL au Burundi.
La loi mentionnée comporte des lacunes qui entravent la liberté d’expression et restreignent la participation active de la société civile dans les affaires publiques. Ces organisations affirment que ces restrictions ont un impact négatif sur la démocratie, la transparence et le développement de notre nation.
Télécharger la Lettre pour demander La promotion et la protection de la liberté d’association au Burundi