Neuf ans après la disparition forcée du journaliste Jean Bigirimana, enlevé le 22 juillet 2016 par des agents présumés du Service national de renseignement, la justice burundaise reste silencieuse malgré des indices graves et les efforts du Groupe de presse Iwacu. La Coalition Burundaise des Défenseurs des Droits de l’Homme (CBDDH) dénonce ce déni de justice, exige une enquête indépendante, exprime sa solidarité avec la famille et les journalistes, et appelle le gouvernement burundais à respecter ses engagements en matière de droits humains et de liberté de la presse.
Déclaration de la CBDDH neuf ans après la disparition forcée du journaliste Jean Bigirimana
