La Coalition Burundaise des Défenseurs des Droits de l’Homme (CBDDH) réclame la lumière et la justice sur l’enlèvement de Butoyi Arcade, représentant provincial du Syndicat des Travailleurs de l’Enseignement du Burundi (STEB) et de l’OLUCOME à Cankuzo au moment de la commémoration de la 4 eme année de sa disparition ce 28 Avril 2024. Arcade Butoyi a été enlevé avec son ami par des personnes en tenue de la police, à…
Author: Bertrand Ngendakuriyo
STATEMENT ON THE 15 TH COMMEMORATION OF THE ASSASSINATION OF ERNEST MANIRUMVA
The CBDDH commemorates on April 9, 2024, the fifteenth anniversary of the tragic assassination of Ernest Manirumva, a human rights defender in Burundi and vice-president of OLUCOME. This barbaric act not only cost the life of a dedicated citizen but also undermined the struggle for justice and transparency in our country. Click here to download the PDF file
Déclaration de la CBDDH sur le 15ème anniversaire de l’assassinat d’Ernest Manirumva
La CBDDH commémore le 09 avril 2024 le quinzième anniversaire de l’assassinat tragique d’Ernest Manirumva, défenseur des droits de l’homme au Burundi et vice-président de l’OLUCOME. Cet acte barbare a non seulement coûté la vie à un citoyen dévoué, mais a également porté atteinte à la lutte pour la justice et la transparence dans notre pays. Cliquer ici pour télécharger le fichier pdf
Declaration of CBDDH in Memory of Butoyi Arcade Kidnapped on April 28, 2020
The Burundian Coalition of Human Rights Defenders (CBDDH) demands transparency and justice for the abduction of Butoyi Arcade, provincial representative of the Syndicat des Travailleurs de l’Enseignement du Burundi (STEB) and OLUCOME in Cankuzo, on the occasion of the 4th anniversary of his disappearance on April 28, 2024. Arcade Butoyi was abducted with his friend by individuals dressed in police uniform, aboard a vehicle well known for its macabre uses on…
LE TRAVAIL DES DEFENSEURS DES DROITS HUMAINS BURUNDAIS EN EXIL EN RDC, TANZANIE, RWANDA ET OUGANDA, 2 ANS APRES LES ELECTIONS DE 2020 pdf
Depuis la répression de 2015 contre les opposants au troisième mandat de Nkurunziza, de nombreux défenseurs des droits de l’homme burundais ont fui en exil, continuant leur travail malgré des conditions difficiles. Le gouvernement a restreint l’espace civique par des lois répressives et la violence a persisté, notamment pendant les élections de 2020. Bien que des dialogues diplomatiques aient eu lieu, les violations des droits humains continuent. Le retour à…