Les organisations de la société civile burundaise signataires de la présente correspondance, souhaitent attirer l’attention du président de la CNIDH sur l’urgente nécessité d’amendement de la loi liberticide n° 1/28 du 05 décembre 2013 portant réglementation des manifestations sur la voie publique et réunions publiques au Burundi.
Outre les failles constatées à travers la loi en question, il importe de signaler que la pratique devenue monnaie courante est que les organisations de la société civile indépendante tout comme les partis politiques de l’opposition sont régulièrement muselés de sorte que le parti au pouvoir ainsi que des organisations alliés sont les seuls qui peuvent librement manifester sur la voie publique ou tenir des réunions publiques.
Télécharger ici la LETTRE DES OSC AU PRESIDENT DE LA CNIDH