Bulletin trimestriel UMWIDEGEMVYO N°6

L’ouverture de l’espace civique est une condition sine qua none pour que les citoyens jouissent pleinement de leurs droits et libertés et participent aux affaires de la nation. Malheureusement, le gouvernement du Burundi a toujours verrouillé cet espace de peur que les citoyens dénoncent les violations des droits de l’homme, la mauvaise gouvernance, la corruption endémique et bien d’autres abus et demandent des comptes aux détenteurs du pouvoir. La publication de…

Bulletin trimestriel UMWIDEGEMVYO N°4

Les droits et libertés des citoyens sont des piliers de la démocratie dans un Etat moderne. Ils sont inviolables et ne peuvent être soumis à des restrictions que pour des causes que la loi autorise et pour motif d’intérêt public. Malgré ces garanties qui transparaissent dans les instruments internationaux que le Burundi a ratifiés et dans la Constitution de la République du Burundi, la jouissance effective des droits et libertés…

Bulletin trimestriel UMWIDEGEMVYO N°3

Depuis le mois d’août 2021, le président Evariste Ndayishimiye s’est particulièrement illustré par un discours offensif plein d’attaques virulentes personnalisées contre des journalistes et plus récemment contre les syndicats des enseignants, semant une totale confusion quant au respect de la loi à laquelle il a pourtant juré fidélité. Les violations massives des droits et libertés des citoyens qui se commettent dans le pays sont sans cesse documentées et dénoncées par…

MANUEL DE GESTION DU STRESS POUR LES DDH BURUNDAIS

La situation des droits humains au Burundi, depuis 2015, est de plus en plus précaire, nous observons des arrestations arbitraires, des cas de torture, des disparitions forcées et des assassinats. Parmi les personnes les plus ciblées il y a les défenseurs des droits humains (DDH) qui, malgré cet environnement de travail à risque, n’ont jamais fléchi, plutôt ils ont multiplié les efforts pour promouvoir un Etat de droit au Burundi…

Déclaration sur le jugement rendu par le Tribunal de Grande Instance de Gitega contre Emilienne Sibomana

La CBDDH est consternée par le jugement condamnant la brave syndicaliste membre du SEGEPEBU, Madame Emilienne Sibomana, au moment où on s’attendait à sa libération, le Tribunal de Grande Instance de Gitega l’a condamné à une peine de 5 ans de prison ferme et une amende de 5.000.000 de francs burundais pour l’infraction de dénonciation calomnieuse contre l’abbé Laurent Ntakarutimana. Télécharger ici la déclaration