Depuis la fin de 2019, les réfugiés burundais, qui ont fui leur pays natal en raison de la violence et de l’instabilité, sont confrontés à de graves violations des droits humains dans les camps de réfugiés en Tanzanie. La situation est d’autant plus préoccupante suite à l’ultimatum du gouvernement tanzanien exigeant le rapatriement forcé des réfugiés burundais d’ici décembre 2024, en violation flagrante du principe de non-refoulement. Renvoyer des milliers de personnes au Burundi, où elles risquent d’être persécutées, contrevient aux normes du droit international et met en danger des vies innocentes.
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