La CBDDH a appris avec consternation l’arrêt rendu par la Cour d’appel de Bujumbura en date du 02 Mai 2023, condamnant Floriane Irangabiye à 10 ans d’emprisonnement et d’1millon de francs burundais d’amende pour son travail de journaliste. Le Tribunal de Grande instance de Mukaza l’avait condamné à cette même peine en date du 03 janvier 2023 sans motivation valable étant donné que les accusations collées à Floriane Irangabiye n’ont…
Déclarations
Déclaration des OSC pour demander d’assainir l’environnement des droits humains et de mettre fin au discours de la haine
Nous, les organisations de la société civile burundaise en exil, en solidarité avec les organisations non gouvernementales du monde soussignées, vous adressons la présente afin de vous exhorter, en votre qualité de Président de la République du Burundi et Magistrat Suprême, d’assainir l’environnement des droits humains et de mettre fin au discours de la haine qui va à l’encontre du slogan de votre législature : « Leta Mvyeyi, Leta Nkozi…
Déclaration pour demander la libération de 5 DDH arrêtés et emprisonnées pour leur travail
Les défenseurs des droits de l’homme Maître Sonia Ndikumasabo, représentante légale de l’Association des Femmes Juristes Burundaises(AFJB), Madame Marie Emerusabe, coordinatrice générale de l’AFJB, Audace Havyarimana, représentant légal de l’Association pour la Paix et la Promotion des Droits de l’Homme (APDH) et Sylvana Inamahoro, directrice exécutive de l’APDH, ont été arrêtés à l’Aéroport Melchior Ndadaye de Bujumbura en date du 14 févrrier2023 par le Service National de Renseigment. Le même…
Déclaration à l’occasion de la Journée Internationale de la Femme.
A l’occasion de la journée internationale de la femme 2021, la CBDDH salue le courage et la détermination des femmes burundaises défenseures des droits humains pour leur lutte pacifique, demande à la justice burundaise de faire la lumière sur la disparition forcée de Marie-Claudette KWIZERA, trésorière de la Ligue Burundaise des Droits de l’Homme ITEKA, rappelle que plusieurs femmes défenseures sont toujours en exil, demande l’annulation de la récente sentence…
Déclaration relative à la récente signification de jugement à domicile inconnu visant certains défenseurs des droits de l’homme
Les victimes, les organisations de la Société civile, les journalistes, les avocats et les organisations féminines burundaises en exil, dénoncent fermement l’irrégularité de la décision judiciaire qui a été affichée sur le tableau de la Cour suprême en date du 2 février 2021. Pour plus de détails, Télécharger ici la déclaration