Depuis la répression de 2015 contre les opposants au troisième mandat de Nkurunziza, de nombreux défenseurs des droits de l’homme burundais ont fui en exil, continuant leur travail malgré des conditions difficiles. Le gouvernement a restreint l’espace civique par des lois répressives et la violence a persisté, notamment pendant les élections de 2020. Bien que des dialogues diplomatiques aient eu lieu, les violations des droits humains continuent. Le retour à…